L'usine de Fiorano a été créée en 2007 dans la province de Vojvodina, en Serbie, entre les villes de Sombor et Kula. Depuis 1980, la région est reconnue internationalement comme un centre textile de haut niveau. Le défi pour Fiorano était donc de mettre à profit les compétences traditionnelles de la région, tout en apportant des innovations incessantes qui lui permettraient de se distinguer tout particulièrement. L'usine est rapidement devenue un centre d'excellence pour la corsetterie, mais aussi en raison de ses conditions de travail et de l'attention générale qui est accordée aux membres du personnel.
À Fiorano, les membres du personnel, dont 91 % sont des femmes, jouissent d'excellentes possibilités de perfectionnement professionnel et d'avancement au sein de l'entreprise ; en plus des possibilités de formation qui leur sont offertes gratuitement, on accorde la plus grande importance au « team building », en organisant souvent des activités internes pour développer le travail en équipe. La présence de seulement 3 membres du personnel expatriés reflète la volonté d'offrir des opportunités et de bons emplois dans la région ; Fiorano emploie 1,879 membres du personnel, tous originaires des environs des villes de Sombor et Kula, et leur offre un service de navette gratuit entre les deux villes et l'usine. En plus des nombreuses récompenses pour son soutien et sa contribution à la communauté, Fiorano a reçu les prix « Successful Employment of Women » et « Development of Entrepreneurship ».
À Fiorano, toutes les eaux usées sont traitées conformément aux normes environnementales les plus strictes. En outre, afin de réduire les émissions, d'ici la fin de l’année 2021, l'usine n'utilisera que de l'électricité provenant de sources renouvelables. Enfin, afin de limiter les gaspillages, les déchets inutiles sont réduits au minimum et les chutes de textiles sont vendues, pour éviter qu'elles ne deviennent de nouveaux déchets.
La ressource la plus importante a toujours été représentée par les personnes qui travaillent avec nous. C'est pourquoi la présentation de nos usines ne serait pas complète sans leur permettre d’exprimer leur opinion. Voici les histoires des personnes qui fabriquent nos vêtements jour après jour :